Mon hypertrophie de la prostate : comment je l'ai vécue ?

Cet article comporte la mise en avant d'un produit, objet d'une collaboration commerciale. Mais ce complément alimentaire contient un produit recommandé par mon urologue, les pépins de courge.

Le sujet est peu sexy, mais pourtant il nous concerne tous. En tout cas, il peut tous nous concerner, et j'en suis la preuve. C'est d'ailleurs bien pour cela que j'ai voulu faire cet article, car si j'avais trouvé des témoignages de mecs, cela m'aurait bien aidé, rassuré surtout ! Ce sujet, c'est l’hypertrophie bénigne de la prostate (HBP). La prostate, le mot est lâché, j'en ai déjà parlé sur le blog en tant qu'élément de plaisir, jamais en tant qu'élément de douleur ... ce que j'ai vécu. Et pourtant, l’hypertrophie bénigne de la prostate, peu connue des hommes de moins de 50 ans, touche la majorité des hommes en vieillissant. Et je ne fais pas exception, sauf que moi je l'ai eue un peu plus tôt que la normale. C'est un vrai sujet de santé masculine.

Dans cet article, comme un témoignage pour que, si jamais cela t'arrive, tu puisses comprendre facilement, je vais te partager ce que j’ai vécu récemment, les signes qui m’ont alerté, la consultation chez l’urologue (spoiler : oui, il y a eu un toucher rectal), et ce que j’ai mis en place pour améliorer les choses naturellement.

Comment j’ai compris que ma prostate grossissait

Tout a commencé avec un truc qui, franchement, fait flipper : du sang en allant aux selles. Bon, franchement cela fait bizarre de voir la cuvette rouge, comme si quelque chose avait éclaté à l'intérieur de toi. Ensuite, dans les minutes qui ont suivi, j’ai ressenti une sensation d’anus gonflé, voire complètement bouché, avec d'énormes contractions au niveau du périnée. Des contractions permanentes. Une sorte de pression, de tension constante. Impossible à contrôler. C'était très désagréable, épuisant mentalement, très stressant car je ne l'avais jamais eu. Honnêtement, si j'avais pu me faire retirer l'anus, je l’aurais fait ! Parce qu’à ça se sont ajoutées des envies d’uriner permanentes, alors que quand j’allais aux toilettes… il ne sortait rien, quelques gouttes...

Ma première pensée a été "c’est une hémorroïde qui a pété". Je consulte rapidement un gastro-entérologue – parce qu’on ne rigole pas avec ça. Il ne voit rien. J’en consulte un deuxième… pareil, rien. Autant le 1er avait l'air de s'en foutre un peu "je ne vois rien donc il n'y a rien", alors que je luis décrivais tous les symptômes que j'avais, l'autre, bien que ne voyant rien, décide de me faire un scanner de l’anus. De ce scanner, il n'en sortira rien d’anormal. Et là je commence à flipper, parce que ce n'est pas possible d’avoir tous ces signes et qu’on ne trouve rien. Ce deuxième gastro m’oriente alors vers un urologue, pour vérifier si ça ne vient pas de la prostate. Entre-temps, j’ai un rendez-vous avec mon médecin généraliste pour autre chose. Je lui en parle, et il me conseille de faire un dosage PSA (qui se fait via une prise de sans) avant mon rendez-vous chez l’urologue. Le PSA, c’est une protéine produite par la prostate, normalement présente en petite quantité dans le sang. Quand le taux est élevé, ce n’est pas bon signe. Il faut savoir qu’il y a des précautions à prendre avant ce dosage : éviter les rapports sexuels plusieurs jours avant, le toucher rectal (et la stimulation de la prostate) ou encore le vélo, car tout cela peut fausser les résultats. Je fais la prise de sang… et là, le taux est élevé. Trop élevé pour un mec de mon âge me dira par la suite l'urologue. Évidemment, quand je réceptionne les résultats, je regarde sur Internet ce que ça veut dire. Et là, direct : cancer de la prostate. Grosse angoisse.

Si tu n'as pas envie de lire la suite, mais tu préfères plutôt regardé une vidéo, j'en ai fait une vidéo sur ma chaine Youtube que tu peux trouver ci-dessous :

Mes rendez-vous chez l’urologue

J’arrive enfin à mon rendez-vous chez l’urologue. Presque 6 mois après les premiers signes. Oui c'est long, mais c'est long d'avoir des rendez-vous, sachant que j'ai vu 2 gastros avant. Je lui montre mon résultat de ma prise de sang PSA. Il me fait un toucher rectal (je commence à avoir l’habitude après ceux des gastro-entérologues), une échographie de la prostate, et là il me dit : "la prostate est grosse et enflammée". Il prescrit une IRM de la prostate et un spermogramme (je n'ai pas su pourquoi, je n'ai même pas posé la question !). L’IRM confirme : la prostate est bien gonflée, d’où cette impression d’anus bouché, et en plus, il y a une lésion suspecte. Il me parle alors de biopsie de la prostate. C’était la totale. Et franchement, j’ai eu peur, peur d’un cancer. Bah oui, entendre le mot biopsie pour moi c'est direct synonyme de cancer. Il me donne un traitement pour soulager les envies d’uriner et me demande de refaire une prise de sang PSA et une nouvelle IRM six mois plus tard. 6 mois plus tard, le taux PSA est encore élevé, mais il a baissé (je suis rassuré). Et surtout : la lésion a disparu. Et là, au deuxième rendez-vous, il me dit : “On écarte le risque de cancer. C’était une hypertrophie de la prostate.

Qu’est-ce que l’hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) ?

La prostate est une glande située sous la vessie, qui joue un rôle clé dans la production de sperme. Avec l’âge, elle a tendance à grossir. C’est ce qu’on appelle l’hypertrophie bénigne de la prostate.

Ce gonflement comprime l’urètre (le canal par lequel l’urine sort), et provoque plusieurs symptômes :

• jet urinaire moins puissant

• besoin d’uriner plus fréquent, surtout la nuit

• difficulté à démarrer la miction

• sensation de ne pas vider complètement la vessie (et ça c'est horrible, tu as le sentiment de devoir retourner aux toilettes 5 minutes plus tard)

• et dans mon cas, la sensation d'avoir un anus gonflé et rempli et des contractions du périnée.

  
  

C’est très fréquent après 50 ans, et ça n’a rien de honteux. Bon, à moi cela m'arrive alors que je n'ai pas 50 ans ... Mais il ne faut pas le laisser s’installer, car les conséquences sur le quotidien (sommeil, qualité de vie, stress) peuvent être lourdes, comme tu as pu le voir avec mon cas personnel.

Mon choix : Prostanat du Laboratoire NaturAvignon

Comme mes symptômes étaient modérés, l’urologue ne m’a pas prescrit de médicament. Voyant que le taux de PSA diminuait, il s'est certainement dit que cela n'était pas nécessaire. Et puis je continuais de travailler, il n'y avait donc pas urgence. À la place, il m’a conseillé de consommer des pépins de courge, qui comprennent un actif reconnu pour aider à soulager les troubles urinaires liés à l’HBP et agir sur le volume de la prostate.

Alors que je commençais à regarder les compléments alimentaires à base de pépins de courge, au même moment, le Laboratoire NaturAvignon m'a sollicité pour me présenter un produit, prostanat ! Un complément alimentaire pour prendre soin de sa prostate à travers ... des pépins de courge ! Bingo, le bon timing.

J’ai donc opté pour Prostanat, que j'ai pris en cure de 30 jours, à raison de 2 gélules par jour comme recommandé par le laboratoire NaturAvignon. Ce complément correspondait exactement à ce que mon urologue m’avait recommandé.

• il est formulé à base de pépins de courge, associés à d'autres actifs naturels bons pour la prostate.

• il est fabriqué en France, ce qui est toujours un bon point.

• il a de bons retours d’utilisateurs, ce qui m’a mis en confiance.

  
  

J'ai terminé ma cure de 30 jours et je n'ai plus du tout de contractions au niveau du périnée. Sachant que ces contractions étaient liées au volume de la prostate, si je n'en ai plus c'est que la prostate a réduit de volume, voire est redevenue normale. Cela sera à valider avec un nouveau dosage PSA prévu dans quelques mois.

Si je devais te donner un seul conseil : n’attends pas. Plus tu consultes tôt, plus tu évites les complications. L’hypertrophie bénigne de la prostate est très fréquente, et des solutions existent. Il ne faut pas en avoir honte, ni en avoir peur.

Je suis content d’avoir agi. Et si ce que je vis peut t’aider à te poser les bonnes questions, alors j’aurai fait ma part.